Réformes économiques en Afrique: les secrets de la bonne posture du Togo au Sommet France-Afrique
Des réformes économiques au Togo pour rendre le pays plus que jamais attractif. C’est ce à quoi les autorités togolaises se sont fortement engagées ces dernières années. Les nouvelles réformes économiques au Togo introduites par le gouvernement offrent d’ores et déjà un avantage considérable au pays.
Il s’agit donc d’un précieux acquis qui sera défendu auprès des investisseurs lors du Sommet France-Afrique Sur Les Economies Post-Covid-19. Ledit sommet se tiendra en France le 18 mai. L’évènement vise à permettre aux pays africains participants de bénéficier d’un important soutien financier. Ce qui leur permettrait de poser plus tard les bases d’un nouveau cycle de croissance sur le continent après les ravages économiques de la pandémie de la Covid-19.
Des réformes économiques au Togo, gage d’attraction
Pour faire du Togo le pays dans lequel il faut absolument investir, le gouvernement a donc entrepris, ces dernières années, de multiples réformes structurelles. Ces réformes économiques au Togo ont été perceptibles dans plusieurs secteurs. Elles ont eu pour conséquences l’accélération de l’amélioration du climat des affaires.
C’est le cas notamment avec la dématérialisation des opérations douanières à l’importation tout comme à l’exportation. On note également la facilité dans l’obtention du permis de construire avec la réduction drastique des frais et du délai d’établissement et le transfert de propriété. La création d’entreprise est devenue plus souple.
Ces réformes économiques au Togo ont contribué à faire du pays une référence dans le monde. Pour preuve, le Togo se classe au premier rang en Afrique et troisième rang mondial des pays les plus réformateurs, d’après le rapport Doing Business 2020 de la Banque mondiale (BM).
De nouvelles mesures incitatives
Pour conserver et améliorer davantage son climat des affaires pour une plus grande attractivité, de nouvelles réformes économiques au Togo sont en vue. Elles permettront de booster la qualité du partenariat public-privé en vue de la création de richesse dans l’économie nationale.
Il s’agit en l’occurrence de l’opérationnalisation complète de l’Agence de promotion des investissements et de la zone franche (API-ZF). Le déploiement de « E-justice » pour sécuriser davantage les investissements est aussi envisagé par les autorités togolaises.
Un quota de 25% de marchés publics est aussi réservé aux jeunes et femmes entrepreneurs. L’ensemble de ces mesures ont de quoi inciter les partenaires et potentiels investisseurs lors du sommet. De quoi donc assurer la croissance et le développement socioéconomique du pays.