Alors que la Côte d’Ivoire se prépare à accueillir la Coupe d’Afrique des Nations (CAN 2024), l’excitation monte. Mais au-delà des moments de gloire attendus sur le terrain, un défi crucial se profile à l’horizon : garantir la sécurité de tous les participants, des équipes aux supporters. Surtout que ces dernières années la sous-région ouest africaine est confrontée à une insécurité majeure (terrorisme).
Dans un monde où cette préoccupation devient de plus en plus prégnante quelle sera la sécurité à cet événement sportif majeur qui transcende les frontières et unit tout un continent autour de la passion du football ? Quelles sont les mesures robustes mises en place pour assurer une sécurité sans faille, faisant de la CAN 2024, une compétition mémorable ? Les autorités ivoiriennes tentent déjà de rassurer à cet effet.
Sécurité garantie à la CAN 2024
Il faut le souligner la CAN est un événement non seulement mémorable sur le plan sportif, mais aussi un exemple d’organisation exemplaire. De la préparation des stades aux dispositifs de surveillance sophistiqués, tout est fait pour offrir une expérience incroyable aux participants et spectateurs. Pour le ministre de la Sécurité, Vagondo Diomandé, il n’y a pas de crainte à avoir en ce qui concerne les attaques terroristes ou les mouvements de foule. Toutes les mesures qu’il faut pour faire face à tout type de situation sont déjà prises.
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« Je peux vous assurer que nous avons pensé à tout type de situation. Nous avons formé nos collaborateurs en conséquence, équipé aussi en conséquence, nous avons fait le recrutement conséquent et surtout la formation qui accompagne avec les exercices de simulation grandeur nature pour être fin prêts le jour du lancement de cette grande compétition. Et d’ailleurs, nous venons de faire un test grandeur nature avec la Coupe d’Afrique des champions féminine [Ligue des championnes de la CAF, NDLR] qui se déroule très bien et nous en tirerons tous les enseignements pour réadapter au besoin le dispositif qui a été conçu pour la CAN », a-t-il fait savoir.
Sandrine A.